Tous les articles par Sonia Goldblum

L’AGES s’oppose à la réforme de la formation des enseignants

L’AGES tient à exprimer son opposition à la réforme de la formation des enseignant.es qui va être mise en place à la rentrée 2026, telle qu’elle a été annoncée le 28 mars 2025 :

https://www.education.gouv.fr/mieux-former-pour-mieux-faire-reussir-nos-eleves-reforme-de-la-formation-initiale-des-professeurs-450109

https://www.lemonde.fr/campus/article/2025/04/08/reforme-de-la-formation-des-enseignants-dans-les-universites-une-mise-en-uvre-compliquee_6592451_4401467.html

Cette réforme qui place le concours de recrutement des enseignant·es au second semestre de Licence 3 est contraire aux intérêts de l’ensemble de la communauté éducative. Les enseignant·es français.es seront ainsi les moins formés d’Europe.

La mise en œuvre de la réforme dès septembre 2026 exige des collègues qui enseignent dans les licences et les Masters MEEF de réorganiser l’ensemble de la formation dans la précipitation, à coût constant, et les met face à des questions insolubles quant à la manière de répondre à ces nouvelles exigences.

Nous joignons à cet article la motion adoptée par la SAES (Société des anglicistes de l’enseignement supérieur), dont nous partageons les observations et les conclusions. Nous nous associerons à l’ensemble des actions collectives qui seront mises en œuvre pour tenter de mettre un frein à cette évolution néfaste à notre discipline et à la qualité de l’enseignement dans notre pays.

Communiqué_SAES_RéformeFDE_DEF

 

 

 

 

Quitter Berlin Journal de jeunesse Gershom SCHOLEM, éditions rue d’Ulm, 2025

https://presses.ens.psl.eu/quitter-berlin.html

Adolescent, Scholem redécouvre ses racines, apprend la langue hébraïque, étudie le Talmud, les mathématiques et la philosophie, fréquente Martin Buber et les milieux Ostjuden, fait la rencontre déterminante de Walter Benjamin et réfléchit sur le sionisme. Écrit dans une langue fiévreuse, particulièrement dense et foisonnante, son Journal de jeunesse évoque tour à tour son opposition à la guerre et à l’idéologie de l’assimilation, l’anarchisme, ses relations orageuses avec son père, la figure de son frère Werner, socialiste, ses séjours à Munich, Heidelberg, Iéna et Berne, les prémices de son intérêt pour la mystique juive et de sa vocation d’historien, sa découverte de l’art de son temps (le futur art dit « dégéné » par les nazis)…

Inédit en français

Édition d’Angela Guidi et Sacha Zilberfarb (traducteur)

Préface de Johann Chapoutot

Introduction de Sonia Goldblum

Postface de Giulio Busi

Rencontres (passées et) à venir
STRASBOURG, 2 avril – Avec S. Goldblum, A. Guidi et S. Zilberfarb à la librairie Quai des brumes
PARIS, 16 avril – Avec S. Goldblum, A. Guidi et P. Marcolini à la librairie Quilombo (11e)
LYON, 24 avril – Avec S. Goldblum, A. Guidi et L. Guillon au Goethe Institut (2e)
COLMAR, 5 juin – Avec A. Guidi (et L. Marignac, sous réserve) à la librairie Feuilles d’encre
PARIS, 7 juin – Avec S. Goldblum et M. Tauber au centre Medem (10e)
PARIS, 24 septembre – Avec G. Busi, S. Goldblum, A. Guidi et S. Zilberfarb à la librairie Le Livre écarlate (14e)

Hommage à Jean David (1932 – 2024)

HOMMAGE A JEAN DAVID (1932 – 2024)

Les collègues messins tiennent à faire part de leur émotion à la suite de la disparition, le 4 décembre 2024 de Jean David, qui, au cours d’une longue carrière a agi à tous les niveaux au service de son université et de notre discipline.

Admis à l’âge de vingt ans à l’École normale supérieure de Saint-Cloud, reçu à l’agrégation d’allemand en 1956, Jean David a pris son premier poste à Metz au lycée de garçons (aujourd’hui lycée Fabert), où il a enseigné de 1956 à 1962. Devenu en 1962 assistant à la Faculté des lettres de Nancy, il revient à Metz en 1968, en qualité de chargé d’enseignement (grade supprimé en 1984) au département d’allemand de la toute jeune Faculté des lettres et sciences humaines, officiellement créée en novembre 1968.

Avec quelques autres, dont Jean Moes avec qui il restera indéfectiblement lié, il joue un rôle de pionnier en ces temps héroïques de la création de l’Université de Metz. Élu doyen de la Faculté des lettres en décembre 1970, il s’implique personnellement dans presque tous les dossiers. En octobre 1971, il installe les littéraires dans leurs locaux tout neufs de l’île du Saulcy. Il conforte et élargit la palette des formations existantes et encourage les débuts d’une recherche proprement messine. Avec la création en 1973 de la filière Langues étrangères appliquées (LEA), il ouvre des voies nouvelles, répondant à une demande d’ouverture vers l’extérieur, en particulier dans une région transfrontalière. Dès 1970, il met en place un grand Service de formation continue. Très tôt ouvert aux méthodes modernes de l’enseignement des langues, il œuvre avec ses collègues au développement des laboratoires de langues, ce qu’il avait déjà entrepris à Nancy, à la Faculté des lettres et à l’École des Mines.

Cette activité pionnière s’illustre aussi en recherche : en effet, il codirigera le Centre d’Analyse Syntaxique avec Robert Martin, étant avec lui cofondateur de ce centre en 1971. Tous les deux furent aussi à l’origine de la collection Recherches Linguistiques longtemps diffusée par les éditions Klincksieck. Plus globalement, Jean David ne cessera jamais de publier, à l’exception peut-être de la période de sa présidence de l’université. Outre sa thèse d’État intitulée « Syntaxe structurale, syntaxe systématique. Contribution à l’analyse de la phrase allemande en thème et rhème » rédigée sous la direction de Jean Fourquet et soutenue en 1979 en Sorbonne, il est l’auteur d’une trentaine de contributions savantes, tant en allemand qu’en français, sur divers sujets de linguistique. Il a aussi produit, dans le cadre d’ouvrages collectifs ou d’actes de colloques, de nombreux articles consacrés à l’enseignement de l’allemand et du français.

Docteur d’État et Professeur des universités, Jean David fut élu le 10 septembre 1979 président de l’Université Paul Verlaine de Metz, charge qu’il devait exercer pendant près de neuf ans, jusqu’en 1988. Durant ce long mandat, il fut confronté à plusieurs crises dues au manque de locaux et au sous-encadrement de l’Université de Metz, mais aussi aux retombées locales de la politique universitaire nationale : loi Sauvage (1981), loi Savary, promulguée en 1984, mais appliquée à Metz en 1988 seulement, loi Devaquet (1986). Il eut aussi à relever le défi posé par la forte augmentation des effectifs étudiants (+ 48 % entre 1981 et 1987). En président ouvert, qui savait joindre la compétence à la bienveillance, l’efficacité à la cordialité, privilégiant la négociation à l’affrontement, Jean David réussit à faire front avec ses équipes.

Son mandat s’est surtout caractérisé par une triple ouverture :

– Ouverture « intellectuelle », pour reprendre sa propre formule, avec le renforcement des formations existantes, et surtout le développement de filières pluridisciplinaires, dont plusieurs affichaient une finalité professionnelle marquée. Il porta ainsi la création de l’Institut d’administration des entreprises (IAE, 1981-1988).

– Ouverture « sociologique » ensuite, dont la formation permanente devait être le ressort principal. Jean David en fut le promoteur, lui qui s’était auparavant déjà investi au CUCES à Nancy. Il est le père de la formation continue à l’Université de Metz. Du Centre de promotion linguistique créé en 1970, soit un an avant la loi de juillet 1971, à la Mission formation continue, il développa et anima une politique d’ancrage dans le milieu socio-économique.

– Ouverture « géographique » enfin, dont le franco-allemand et le transfrontalier étaient les piliers. À l’origine de la création en 1978 de l’ISFATES, alors qu’il était délégué aux relations internationales de l’Université, il poursuivit dans ce sens.

Mais Jean David occupa encore parallèlement d’autres charges, toujours avec le même sens du devoir pétri d’humanité : il fut vice-président de l’Association des Germanistes de l’Enseignement Supérieur (AGES) de 1979 à 1982 et président de l’AGES de 1985 à 1988. Au début et jusqu’au milieu des années 90, il fut également Président et Vice-Président du Collège franco-allemand pour l’enseignement supérieur. Le Collège, qui proposait essentiellement des cursus d’ingénieur, fut dissout au moment de la création de l’UFA.

En avril 1999 (alors qu’il avait pris sa retraite de l’université en 1995), il fut nommé président fondateur du premier établissement d’enseignement supérieur binational par Claude ALLÈGRE, alors ministre de l’Education Nationale. Jean DAVID a marqué de manière décisive la délicate phase de fondation, qui a duré deux ans. « Nous lui en sommes très reconnaissants » déclarent ses successeurs au poste de Président de l’UFA, Hélène HARTH et le Vice-Président Christian AUTEXIER. On continua à le consulter sur bien des sujets et en 2001, il joua à nouveau un rôle déterminant dans le lancement du projet d’Institut polytechnique d’études franco-allemandes et de management (IPEFAM). Dans les différents cercles de décision régionaux, on appréciait la profondeur de sa pensée, sa finesse d’analyse et la sagesse de ses conseils.

Jean David était aussi un membre éminent de l’Académie Nationale de Metz, qu’il avait rejointe dès 1971. Durant les longues années de son implication ardente dans les plus hautes responsabilités universitaires, sa présence aux séances mensuelles de l’Académie fut certes plus épisodique, mais il demeurait très attaché à l’institution. Libéré de ses tâches multiples à compter du début des années 2000, il a tenu à apporter à cette Compagnie de précieux témoignages de son expérience et de son talent, donnant plusieurs communications et contribuant aux deux volumes Metz. L’Annexion en héritage (2012) et Metz. De l’Allemagne à la France. Mémoires de la Grande Guerre (2015).

 

Il était impossible de ne pas reconnaître ses mérites et son talent, de sorte que les plus hautes distinctions l’ont honoré : officier de la Légion d’Honneur, officier de l’Ordre national du Mérite, commandeur des Palmes académiques, commandeur de l’Ordre du Mérite de la République fédérale d’Allemagne, titulaire de l’Ordre du Mérite de la Sarre.

Apprécié de ses collègues, de ses étudiants et de ses thésards, le Professeur David était un homme de foi, en Dieu et en l’Homme. Universitaire éminent, un des meilleurs spécialistes français de la linguistique allemande, passionné par les questions de didactique des langues, il excellait dans le choix des formules, bien souvent teintées d’humour. Le Président David était un homme de conviction, d’ouverture, de dialogue et de sagesse, toujours attaché à l’intérêt supérieur de l’institution, fin diplomate, initiateur et novateur dans bien des domaines.

Nous le remercions de tout cœur.

Le 22 janvier 2025, jour anniversaire du traité de l’Elysee, l’université de Lorraine a inauguré une Maison du franco-allemand sur le site du Saulcy à Metz. Elle l’a baptisée “Maison du franco-allemand_Jean David”, perpétuant par là même le souvenir de l’action de notre collègue.

Texte rédigé par Gérard Michaux et Françoise Lartillot

CFP- Le marché du travail intellectuel : émergence, structuration, régulation (XVIIIe-XXe siècle)-Colloque à l’Université de Lorraine, Metz, 15-17 janvier 2026

Le marché du travail intellectuel : émergence, structuration, régulation (XVIIIe-XXe siècle) Perspectives franco-allemandes et internationales

Résumé

Ce colloque propose d’étudier les formes d’émergence, de structuration et de régulation des marchés du travail intellectuel en France, en Allemagne et plus largement en Europe et à l’international, entre le milieu du XVIIIe et le milieu du XXe siècle. L’objectif est de proposer une approche variée, d’histoire sociale et politique, mais aussi économique et culturelle pour comprendre les luttes de définition autour de ce qu’est une profession intellectuelle, les débats autour de l’ouverture ou au contraire de la fermeture des carrières ou encore les mécanismes d’économisation du travail intellectuel afin d’enrichir l’étude historique des conceptions qu’avaient les contemporains des années 1750-1940 du marché du travail intellectuel.

Annonce

Colloque à l’Université de Lorraine, Metz, 15-17 janvier 2026

Modalités de soumission

Les propositions de communication, d’environ 300-500 mots, répondront directement à l’une ou plusieurs des questions et thématiques mentionnées et mentionneront leur possible l’inscription dans un ou plusieurs des quatre panels. Elles doivent être accompagnées d’un CV (liste de publications incluse). Proposition et CV doivent être envoyés en un seul document PDF à l’adresse suivante : coll.mti.iam [@] gmail.com, avant le 4 mai 2025.

Les jeunes chercheuses et chercheurs (doctorant·e·s, post-doctorant·e·s…) sont tout particulièrement invité·e·s à soumettre une proposition de communication.

Les langues française et allemande seront utilisées à titre principal, de manière égale, chacun pouvant décider de parler dans sa propre langue ou dans l’autre. Nous accepterons l’anglais pour les participants ayant un niveau linguistique plus limité dans l’autre langue afin de faciliter les discussions ; ou pour, éventuellement, selon les propositions en réponse à cet appel à communications, intégrer des chercheurs d’autres espaces linguistiques.

https://calenda.org/1239965

JE- « Ensemble » Nouvelles perspectives sur l’œuvre d’Emine Sevgi Özdamar – 14 MARS 2025 – 09H30 > 18H

« Ensemble » Nouvelles perspectives sur l’œuvre d’Emine Sevgi Özdamar

 

14 MARS 2025 – 09H30 > 18H Fondation de l’Allemagne – Maison Heinrich Heine Cité internationale universitaire de Paris 27 C, boulevard Jourdan F – 75014 Paris

Journée d’étude organisée par le Centre d’Études des Relations et Contacts Linguistiques et Littéraires (CERCLL, Université de Picardie Jules Verne), le centre Représentations Et Identités. Espaces Germanique, Nordique et Néerlandophone (REIGENN, Sorbonne Université) et le College of Social Sciences and Humanities (Koç Üniversitesi, Istanbul)

 

CERCLL-ENSEMBLE

PROG_CERCLL-ENSEMBLE

Publication-Françoise Lartillot, Uwe Puschner (Hrsg./éds.), Kulturpessimismus Le pessimisme culturel

Kulturpessimismus/ Le pessimisme culturel

Analysen & Akteure / Analyses & Acteurs

Françoise Lartillot, Uwe Puschner (Hrsg./éds.)

Reihe: Zivilisationen und Geschichte / Civilizations and History / Civilisations et Histoire, Bd. / vol. 86

Berlin, Bruxelles, Chennai, Lausanne, New York, Oxford, Peter Lang  2025. 386 S., 6 s/w Abb.

ISBN (ePUB) 9783631711088

ISBN (MOBI) 9783631711095

ISBN (PDF) 9783653072433

ISBN (Hardcover) 9783631677315

 

Flyer Kulturpessimismus-D

Annonce de publication Recherches germaniques 54 | 2024

https://journals.openedition.org/rg/12343

CFP: Recherches germaniques 56 (2026) (01.12.2025)

Recherches germaniques 54 (2024)

Les articles (min. 30.000 signes, max. 50.000 signes espaces et notes comprises) devront être envoyés sous format numérique (Word) à Aurélie Choné, directrice de la revue, au plus tard le 1er décembre 2025 : achone@unistra.fr

Ils seront accompagnés d’un résumé d’une dizaine de lignes en français, en allemand et en anglais et d’une courte notice bio-bibliographique. Les auteurs sont priés de se conformer aux consignes de présentation de la revue : https://journals.openedition.org/rg/294

Ne seront pris en compte que les articles mis aux normes.

Les articles proposés par les auteurs sont expertisés anonymement par deux rapporteurs.

La revue ne publie que des articles inédits.

Les auteurs seront informés mi-mars du résultat de la double expertise anonyme.

Présentation de la revue

Recherches germaniques est une revue annuelle qui publie des études traitant de la littérature et de l’histoire culturelle des pays de langue allemande. Sensible à la vocation européenne de Strasbourg et désirant servir de forum aussi bien à la germanistique française qu’à la germanistique internationale, la revue publie des articles en français et en allemand.

Directrice de publication

Aurélie CHONÉ (Université de Strasbourg)

Rédaction et administration

Alexandre ZEITLER (Strasbourg)

Maxim GÖRKE (Strasbourg),

Comité de rédaction

  • Britta Benert, maitresse de conférences HDR – Université de Strasbourg
  • Sonia Goldblum, professeure des universités – École normale supérieure de Lyon
  • Theresa Heyer, maitresse de langue DAAD – Université de Strasbourg
  • Aurélie Le Née, maîtresse de conférences – Université de Strasbourg
  • Véronique Liard, professeure émérite – Université de Bourgogne
  • Daniel Meyer, Professeur – Université de Strasbourg
  • Marie Sophie Winter, maitresse de conférences – Université de Picardie Jules Verne

Comité scientifique

Thomas ANZ (Marburg), Philippe DESPOIX (Montréal), Marino FRESCHI (Rome), Dirk GÖTTSCHE (Nottingham), Michel GRUNEWALD (Metz), Ortrud GUTJAHR (Hamburg), Ralph HÄFNER (Freiburg), Frédéric HARTWEG (Strasbourg), Michael HOFMANN (Paderborn), Uwe JAPP (Karlsruhe), Eva KIMMINICH (Potsdam), Florian KROBB (Dublin), Paul Michael LÜTZELER (St. Louis, USA), Christine MAILLARD (Strasbourg), Klaus-Detlef MÜLLER (Tübingen), Rolf G. RENNER (Freiburg), Gerhard SAUDER (Saarbrücken), Maryse STAIBER (Strasbourg)

AAC- devenir assistant de langue française en Allemagne

Vous trouverez toutes les informations sur ce programme sous le lien suivant. N’hésitez pas à le signaler à vos étudiant.es

https://www.france-education-international.fr/partir-letranger/devenir-assistant-de-langue-francaise-letranger/votre-candidature

 

CALENDRIER DE RECRUTEMENT POUR L’ANNÉE 2025-2026

Les campagnes de recrutement débuteront le 6 janvier 2025. Grâce à la plateforme de gestion ADELE, nous pouvons adapter les dates de fin de campagne en fonction des destinations. Le tableau récapitulant les dates pour chacune des destinations proposées se trouve désormais sur le site internet de France Éducation international.

Vous y trouverez également la liste des destinations offertes pour l’année 2025-2026.

 

ADELE ET COMPTE PROFESSEUR ÉVALUATEUR

La plateforme ADELE facilite le recrutement et le suivi des assistants de langue française à destination d’une trentaine de pays.

Pour déposer un dossier de candidature, les candidats doivent s’inscrire sur la plateforme ADELE. Un tutoriel est mis à leur disposition. Ils doivent faire évaluer leurs motivations et leur niveau de langue par un professeur évaluateur.

Pour évaluer le dossier d’un candidat, le professeur évaluateur doit disposer d’un compte professeur sur la plateforme ADELE. Pour s’inscrire, il doit compléter un formulaire en se rattachant à son établissement qui doit être préalablement inscrit sur ADELE.

La demande de rattachement à l’établissement en tant que professeur évaluateur devra ensuite être validée par l’administrateur du compte établissement. Une fois l’inscription validée, le professeur évaluateur recevra un courriel avec un lien pour créer son mot de passe. Ce lien est valide 24h. Au-delà de ce délai, il suffit de cliquer sur «mot de passe oublié?» afin qu’un nouveau lien soit envoyé.

Vous retrouverez cette procédure dans le tutoriel à destination des établissements et des professeurs.

Une visioconférence dédiée à la plateforme ADELE et notamment à l’évaluation des dossiers de candidature vous sera proposée le lundi 27 janvier de 13h à 14h: Cliquez ici pour rejoindre la visioconférence (via Microsoft Teams).

 

PROMOTION DU PROGRAMME

La deuxième visioconférence de présentation du programme à l’attention de vos étudiants se tiendra le 23 janvier 2025 de 19h à 20h (heure de Paris) : Cliquez ici pour rejoindre la visioconférence (via Microsoft Teams).

 L’enregistrement de la visioconférence du 25 novembre dernier a été mis en ligne sur notre chaîne YouTube.

Par ailleurs, nous proposerons des permanences pour accompagner les candidats pendant la période de l’appel à candidatures aux dates suivantes:

  • 13 janvier 2025, de 12h30 à 13h
  • 27 janvier 2025, de 12h30 à 13h
  • 10 février 2025, de 12h30 à 13h
  • 24 février 2025, de 12h30 à 13h.

Ce document résume les séances prévues pour les candidats, avec des QR Codes à scanner pour rejoindre les réunions: https://www.france-education-international.fr/document/webinaires-alf-dam-2025-2026

 

ENQUÊTE DE SATISFACTION

Tous les ans nous envoyons une enquête de satisfaction aux assistants de langue française en poste. Nous avons le plaisir de vous faire parvenir la synthèse de cette enquête pour l’année 2023/2024.

Cette synthèse ainsi que les résultats complets par destination sont envoyés aux partenaires avec lesquels nous travaillons dans chaque pays. Ces données nous permettent de mettre en avant les points forts du programme et les suggestions qui pourraient permettent d’en améliorer la qualité.

11 % des répondants ont bénéficié d’une validation ou d’une reconnaissance de leur séjour d’assistant de langue par leur établissement d’enseignement supérieur français. De plus en plus d’étudiants nous sollicitent pour connaître les modalités de reconnaissance existantes. Aujourd’hui, une trentaine d’établissements français attribuent une reconnaissance (sous forme d’ECTS, d’unité d’enseignement ou de stage). N’hésitez pas à nous contacter si vous êtes intéressés afin d’échanger sur le sujet.

 

Nous vous remercions par avance pour la diffusion que vous pourrez faire de ces informations auprès de vos étudiants et de vos collègues.

Nous nous tenons à votre disposition pour tout complément d’information et vous souhaitons d’agréables fêtes de fin d’année.

Bien cordialement,

L’équipe du département des assistants de langue et de la mobilité de France Éducation international